Récapitulatif de la manifestation
Arche de Tchernobyl : Quid depuis 2010
GP12 Nucléaire - Club Energie - PétrochimieDate de manifestation : 20 October 2014 18:30 |
Inscription à partir du 01/10/2014 |
Adresse : Hôtel d'Iéna : 9bis avenue d'Iéna, 75016 PARIS |
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En 2010, nous avions assisté à une présentation sur Tchernobyl : « Comment bâtir une arche de confinement du sarcophage construit en 1986, juste après l’explosion du réacteur de Tchernobyl, en garantissant un niveau maximal de sécurité des équipes ? » C’était à cette question que Thomas Chauveau, président de Bouygues Construction Services Nucléaires, Jean-Louis Le Mao, Operations Manager et Christophe Portenseigne et Marc Wastiau, Engineering & Procurement Manager chez Novarka, via la joint-venture formée par Vinci Construction Grands projets et Bouygues, nous avaient donné les clés du challenge qui allait commencer. Pour rappels, outre son rôle de confinement, l’arche métallique devra permettre d'assurer le démantèlement du sarcophage actuel et celui des ruines du réacteur accidenté, et cela pendant les 100 prochaines années. Hors normes de par ses dimensions, l’ouvrage entièrement bardé et étanche, pèse plus de 20 000 tonnes mesurera 105 m de haut, 150 m de large et 257 m de portée. Représentant plus de trois fois le poids de la Tour Eiffel, il pourrait contenir la statue de la Liberté en hauteur ou le Stade de France. Aboutissement d'une démarche lancée il y a 22 ans, le projet mobilise plus de 1 000 personnes en période de pointe. Le transfert de l'arche au-dessus du sarcophage était prévu pour la fin 2011. Mais où en est-on aujourd’hui ???? C’est pour cela que nous avons demandé à Thomas Chauveau et Jean Louis Le Mao de venir nous faire un état d’avancement des travaux 4 ans après en mettant l’accent sur les difficultés techniques rencontrées. En 2010, nous avions assisté à une présentation sur Tchernobyl : « Comment bâtir une arche de confinement du sarcophage construit en 1986, juste après l’explosion du réacteur de Tchernobyl, en garantissant un niveau maximal de sécurité des équipes ? » C’était à cette question que Thomas Chauveau, président de Bouygues Construction Services Nucléaires, Jean-Louis Le Mao, Operations Manager et Christophe Portenseigne et Marc Wastiau, Engineering & Procurement Manager chez Novarka, via la joint-venture formée par Vinci Construction Grands projets et Bouygues, nous avaient donné les clés du challenge qui allait commencer. Pour rappels, outre son rôle de confinement, l’arche métallique devra permettre d'assurer le démantèlement du sarcophage actuel et celui des ruines du réacteur accidenté, et cela pendant les 100 prochaines années. Hors normes de par ses dimensions, l’ouvrage entièrement bardé et étanche, pèse plus de 20 000 tonnes mesurera 105 m de haut, 150 m de large et 257 m de portée. Représentant plus de trois fois le poids de la Tour Eiffel, il pourrait contenir la statue de la Liberté en hauteur ou le Stade de France. Aboutissement d'une démarche lancée il y a 22 ans, le projet mobilise plus de 1 000 personnes en période de pointe. Le transfert de l'arche au-dessus du sarcophage était prévu pour la fin 2011. Mais où en est-on aujourd’hui ???? C’est pour cela que nous avons demandé à Thomas Chauveau et Jean Louis Le Mao de venir nous faire un état d’avancement des travaux 4 ans après en mettant l’accent sur les difficultés techniques rencontrées. Mlle Peyrot Elisabeth mondam@arts-et-metiers.asso.fr |